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Le voleur de Lumière

Le voleur de Lumière est un court-métrage réalisé par Jules Vésigot-Wahl sur lequel j'ai occupé la place de directrice de la photographie (couplée avec le poste d'assistante réalisateur).

Ci-dessous vous avez les 11 premières minutes du film non étalonnées et non mixées.

Le pitch : À travers les rues vides d’une ville déshumanisée, la vie nocturne d’un « voleur de lumière », persuadé d’être seul…

le Voleur de Lumière est un court-métrage de 25 minutes encore à l'étape de la post-production.

Bien que réalisé sans moyens, nous avions pour ambition de créer un univers futuriste, artificiel et froid.

Comme l'indique le titre du film, le travail de l’éclairage était primordial. Le récit suit un personnage seul qui ne connaît que la nuit et qui vole la lumière artificielle de la ville jusqu’au jour où il trouve une boîte d’allumettes dont il va chercher le propriétaire. Cet évènement marque un basculement scénaristique et visuel dans le film avec l'entrée de nouveaux personnages et de décors. Il raconte dès lors combien les personnages éprouvent des difficultés à communiquer, difficultés accentuées par le cadrage qui les éloigne en les laissant dans un même espace et la lumière qui, malgré une homogénéisation de l’ambiance, souligne les distinctions dans l'univers de chacun.

Documentaire

En collaboration avec l'école de Saint-Armel de Rennes, Iuna Allioux et moi-même avons intégré une classe de maternelle composée en grande majorité d'enfants réfugiés. 

Montrer l'intégration de ces enfants qui parlent tous des langues différentes nous tenait à cœur. Intégration montrée notamment par le biais de séances de chants animées des mamans d'élèves dans leur langue maternelle.

Nous sommes passées par des interviews d'enfants, mais aussi des séquences de classe et de gym pour suivre une évolution de chaque enfant.

Encore en post-production, ce film sera un moyen-métrage documentaire sur l'ensemble de la classe.

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PK.0

Réalisé dans le cadre des 48 heures en première année d'étude à la Fémis, PK.0 est un film sur un romancier de gare et une jeune fille en fuite se rencontrant au milieu des rails, dans une ville où les usines envahissent l'espace sonore.

Sur ce court-métrage, j'occupais le poste d'électro-machiniste. Le film étant en noir et blanc, il était important de maîtriser au maximum les ombres et de tourner en fonction du soleil et de ses déplacements dans la journée, donnant lieu à un défi contre le temps important mais particulièrement attractif.

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